The London Suite
Fats Waller, London, 1939
Bond Street
Chelsea
Limehouse
Picadilly
Soho
Whitechapel
Bozo
Felix Leclerc
Dans un marais
De joncs mauvais
Y avait
Un vieux château
Aux longs rideaux
Dans l'eau
Dans ce château
Y avait Bozo
Le fils du matelot
Maître céans
De ce palais branlant
Par le hublot
De son château
Bozo
Voyait entrer
Ses invités
Poudrés
De vieilles rosses
Traînant carrosse
Et la fée Carabosse
Tous y étaient
Moins celle qu'il voulait...
Vous devinez
Que cette histoire
Est triste à boire
Puisque Bozo
Le fou du lieu
Est amoureux
Celle qu'il aime
N'est pas venue
C'est tout entendu
Comprenez ça
Elle n'existe pas...
Ni le château
Aux longs rideaux
Dans l'eau
Ni musiciens
Vêtus de lin
Très fin
Y a que Bozo
Vêtu de peau
Le fils du matelot
Qui joue dans l'eau
Avec un vieux radeau
De joncs mauvais
Y avait
Un vieux château
Aux longs rideaux
Dans l'eau
Dans ce château
Y avait Bozo
Le fils du matelot
Maître céans
De ce palais branlant
Par le hublot
De son château
Bozo
Voyait entrer
Ses invités
Poudrés
De vieilles rosses
Traînant carrosse
Et la fée Carabosse
Tous y étaient
Moins celle qu'il voulait...
Vous devinez
Que cette histoire
Est triste à boire
Puisque Bozo
Le fou du lieu
Est amoureux
Celle qu'il aime
N'est pas venue
C'est tout entendu
Comprenez ça
Elle n'existe pas...
Ni le château
Aux longs rideaux
Dans l'eau
Ni musiciens
Vêtus de lin
Très fin
Y a que Bozo
Vêtu de peau
Le fils du matelot
Qui joue dans l'eau
Avec un vieux radeau
La complainte du partisan
Paroles : Emmanuel d'Astier de La Vigerie dit "Bernard". Musique : Anna Marly écrit en 1943, à Londres...
Original chanté par Anne Marly
Leonard Cohen
L’ennemi était chez moi
On m’a dit résigne-toi
Mais je n’ai pas pu
Et j’ai repris mon arme.
Personne ne m’a demandé
D’où je viens et où je vais
Vous qui le savez
Effacez mon passage.
J’ai changé cent fois de nom
J’ai perdu femme et enfants
Mais j’ai tant d’amis
Et j’ai la France entière.
Un vieil homme dans un grenier
Pour la nuit nous a cachés
L’ennemi l’a su
Il est mort sans surprise.
Hier encore nous étions trois
Il ne reste plus que moi
Et je tourne en rond
Dans la prison des frontières.
Le vent souffle sur les tombes
La liberté reviendra
On nous oubliera
Nous rentrerons dans l’ombre.
Chanson pour l'Auvergnat
La simplicité de [[Georges Brassens]] en a fait un des artistes les plus aimés du patrimoine culturel français. Son répertoire, impertinent mais jamais provocateur, trace un portrait sans pitié, et pourtant si tendre, de ses contemporains.